Nous revoici pour une novella signée Émile Degas ! Dans un style
beaucoup plus horreur que pour sa nouvelle « Monstrueux », qui m’avait déjà
bien plu lorsque je l’ai lue.
Ici,
nous découvrons une héroïne atypique, Layla, tueuse à gages évoluant dans un
univers violent et sans pitié. Depuis l’enfance, elle a appris à survivre
jusqu’à devenir celle qu’elle est aujourd’hui. Et la voilà, envoyée par son
chef, à retrouver l’un de ses collègues.
Et
c’est là que tout commence. Layla débarque dans une ville qui n’a rien à envier
à Resident Evil. L’ambiance générale m’a beaucoup rappelé les deux derniers,
avec des habitants ma foi, très charmants. Et sans doute un peu consanguins sur
les bords.
De
révélation en révélation, l’action n’éprouve aucun de repos. Le format novella,
que je ne connaissais pas trop avant de lire ce livre, permet de faire une
histoire très rythmée qu’Émile Degas a su bien exploiter ! J’ai trouvé ce
format bien adapté au récit.
La
trame se déroule jusqu’au dénouement, qui a une bonne vibe Silent Hill !
Franchement, cette fin, comme je l’ai aimée. Digne d’un film d’horreur, elle se
suffit à elle-même. L’ensemble du recueil m’a donné une impression très
cinématographique.
Comme
pour sa précédente nouvelle, il y a des passages un peu violents, et légèrement
gores. La 13e convive ne sera pas à mettre entre toutes les
mains !
Et je veux un Nestor.
Lecture du prologue (♪ Atrium Carceci - Catacombs of the Forgotten)
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